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Port du masque obligatoire pour toutes les manifestations
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Pour une partie des manifestations des JA, les places sont limitées.
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Si vous vous inscrivez, nous partons du principe que vous viendrez !
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Merci de respecter votre engagement.
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Inscrit sur l'inventaire des Monuments Historique le 15/11/1985
Ancien hôtel des Joham de Mundolsheim
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Murs-pignons à redents
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Porte cochère à intrados sculpté, côté cour
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Escalier intérieur à balustres et poteau sculpté attenant
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Colonnette ionique à l’intérieur du rez-de-chaussée
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Façade sur la rue des Juifs à l’exclusion du rez-de-chaussée, et cave voûtée.
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Classement parmi les Monuments Historiques le 1/03/1989
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Ensemble des peintures polychromes du Moyen Age et de la Renaissance ainsi que les plafonds et les murs les supportant
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Peinture murales isolée dans la cour actuel de l'hôtel.
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En ces lieux à l'origine se trouvait en 1676 l'imprimerie du libraire Frédéric-Guillaume Schmuck, qui deviendra imprimeur du roi en 1681.
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Dès 1747 avec François-Georges, le début de la saga "Levrault" puis Berger-Levrault.
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Au moment de la Révolution la plus importante imprimerie-librairie de l'est et la seule à pouvoir faire face aux demandes d'impression de la "Nouvelle Impression Républicaine".
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Cédée en 1873 à Schultz et Cie.
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En raison de la construction d'une nouvelle imprimerie à Nancy, l'établissement - en 1918 - devient "Imprimerie Strasbourgeoise", plus connue sous l'abréviation Istra.
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L'imprimerie Schmuck avait été créée en 1675.
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Elle devint par la suite Imprimerie Alsacienne, puis Imprimerie Strasbourgeoise, puis Istra.
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Transférée en 1871 à Nancy, elle réoccupa ses anciens bâtiments strasbourgeois au lendemain de la Première Guerre mondiale.
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En 1992, la plupart des bâtiments disparaissent, les démolitions ne laissant en place que les bâtiments implantés en front de rue, alors occupés comme magasin de commerce et logements.
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Cinq réalisations récentes de la Ville et de l'Eurométropole
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Rendez vous : 7 Rue Ecarlate
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Merci à Mme Leslie LUCK, chef de projet à l'Eurométropole pour une visite complète, détaillée et conviviale.
2020 - 10 - JA - Le CARDO (54) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (53) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (52) |
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2020 - 10 - JA - Le CARDO (49) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (45) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (41) |
2020 - 10 - JA - Le CARDO (44) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (47) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (48) |
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2020 - 10 - JA - Le CARDO (32) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (30) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (26) |
2020 - 10 - JA - Le CARDO (28) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (27) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (25) |
2020 - 10 - JA - Le CARDO (19) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (24) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (23) |
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2020 - 10 - JA - Le CARDO (2) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (3) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (5) |
2020 - 10 - JA - Le CARDO (6) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (5) | 2020 - 10 - JA - Le CARDO (7) |
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Avec Matthieu BICK et Michel GIROLD (GB Architectes)
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Rendez vous : 1 Rue Jean Rostand à LINGOLSHEIM
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Tous les ans, la Maison Européenne de l’Architecture organise les journées de l’architecture. Dans ce cadre l’agence GBA nous a proposé la visite du nouveau collège Galilée à Lingolsheim.
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Le bâtiment initialement construit par les architectes Heintz et Rexer a été entièrement restructuré par notre agence et a réouvert ses portes aux collégiens en janvier 2020.
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Une visite passionnante de près de 3 heures, par un architecte qui a eu du plaisir à nous faire une visite détaillée.
Un immense MERCI
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Es war einmal die Villa Schutzenberger
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Rendez vous : 76 Allée de la Robertsau
Ancien hôtel Schützenberger :
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façade et toiture sur rue (Inventaire Monuments Historiques 1975)
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En 1899, les architectes strasbourgeois Berninger et Krafft ont signé pour Louis Oscar Schützenberger un hôtel alliant des réminiscences de villa italienne – toiture débordantes peu élevées – à un décor d’inspiration végétale, sculpté ou forgé, d’une grande pureté de lignes et fondé sur la répétition des mêmes motifs : l’emploi d’une lumineuse pierre de Savonnières pour les deux façades principales accentue encore ce caractère méridional.
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Intégralement préservée, la propriété est précédée d’une clôture au portail monumental doublé d’une porte piétonne ; une ferronnerie aux lignes asymétriques orne chacun des trois vantaux.
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Des dépendances inchangées complètent toujours l’hôtel :
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garages à l’arrière et sur le côté,
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une conciergerie en brique aux allures de petit castel.
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Deux ailes en équerre, l’une orientée perpendiculairement à l’allée, y prolonge la façade de l’aile parallèle à la rue.
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Les deux niveaux sont percés des mêmes fenêtres plus ou moins larges en anse de panier ; leur arrière-voussure se termine en « virgule » de même que les appuis ; un pseudo-fronton sculpté de bouquets de fleurs de lys surmonte le plupart d’entre elles.
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A l’extrémité nord de la façade sur rue, une grande terrasse permet l’accès au jardin. Symétriquement, l’angle occidental de la villa forme une tourelle encore accentuée par son étage supplémentaire ; ici l’étage noble s’éclaire à la fois d’une large baie à quatre lancettes précédée d’un balcon et, sur l’angle, d’une logette rectangulaire.
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L’élévation en retour, de même hauteur, comporte une avancée à trois pans à l’étage inférieur ; le portail d’entrée rejeté à l’extrémité sud de cette même façade s’intègre à un oriel couvert en terrasse ; la sobriété de son arrière-voussure valorise le vantail en ferronnerie calqué sur ceux de la clôture.
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En dépit des décrochements multiples de l’architecture, l’hôtel dégage une impression d’unité presque classique à l’oppose du « baroquisme » observé sur la façade de l’immeuble n° 56 du même côté de l’Allée.
Source : Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace p. 567-568
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Cette villa Art nouveau est construite en 1900 par les architectes Jules Berninger et Henri Gustave Krafft pour Louis Oscar Schutzenberger (1866-1943), propriétaire de la brasserie du même nom.
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La visite est l’occasion de découvrir les jardins et le rez-de-chaussée de la maison, mais aussi son histoire.
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C’est avec plaisir que je vous guiderai en l’Alsace, à Strasbourg et à Colmar.
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Je vous présenterai bien volontiers les musées de Strasbourg et Colmar ainsi que leurs expositions temporaires
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Ich führe Sie durch das Elsass, Straßburg und Colmar. Gerne erkläre ich Ihnen auch die verschiedenen Museen von Straßburg und Colmar sowie deren Austellungen.
Pour contacter Mme BAUMGARTNER
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Cinq réalisations récentes de la Ville et de l'Eurométropole
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Rendez vous : 7 Rue de l'Abbé Wetterlé
Les critères du développement durable sont naturellement présents dans toutes les réalisations du cabinet d'architecture Georges Fischer depuis la création de l’agence en 1995.
La façade est en bois de mélèze brûlé et poncé. Avec les années cela donnera une teinte grisée uniforme. La consommation de gaz à effet de serre a été diminée par 3 et donne surtout aux utilisateurs un confort "douillet".. Georges FISCHER n'aime pas l'architecture de "bavardage" qui met des couleurs partout. Il préfère la sobriété des teintes et que les couleurs ce soient les dessins des enfants.
Un grand merci pour la visite.
À la veille de la grande conférence des Journées de l’architecture qui se tiendra au Maillon, nous avons pu découvrir le théâtre nouvellement construit en présence d’un des architectes chargé de sa réalisation. Francisco Martinez de l’agence LAN nous a mené à travers les espaces de rez-de-chaussée et jusqu’aux salles de spectacle en passant par le studio et la cantine du théâtre.
C’est l’occasion de découvrir les espaces et les réflexions architecturales d’un des derniers ouvrages de grande ampleur construits à Strasbourg.
A partir du samedi 24 octobre 2020 à 0 heure,
couvre-feu dans le Bas-Rhin de 21 h à 6 h.
Sachez que le couvre-feu ne remet nullement en cause
la tenue de notre grande conférence au Maillon !
Cependant, pour garantir un maximum de sécurité sanitaire et vous permettre de rentrer chez vous avant 21 heures, nous avons effectué quelques ajustements de programme pour que ce moment demeure riche et convivial.
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16:30 - Ouverture des portes et découverte de la projection rétrospective réalisée à l’occasion des 20 ans du festival.
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17:00 - Set de jazz de Sébastien Muller et Boris Labouèbe (sans cocktail)
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18:10 - Conférence de l’architecte franco-libanaise Lina Ghotmeh
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19:45 - Performance Empreinte 20 de l’architecte-plasticienne. La performance « Empreinte 2020 », une immersion artistique à la fois picturale et sonore.
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Elle est le fruit d’une rencontre entre deux artistes : Carole NIEDER, plasticienne et architecte, et Sébastien MULLER sound designer et musicien compositeur.
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L’installation mouvante et éphémère qu’ils proposent questionne les rapports entre le corps, l’espace et le temps.
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20:15 - Fin de la soirée.
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En raison de la situation sanitaire due au COVID, il est devenu impossible à Tatiana Bilbao de venir du Mexique. Vous proposer une visioconférence dans le cadre d’un Temps fort des Journées de l’architecture 2020 semblait particulièrement frustrant, aussi la MEA a sollicité une autre conférencière d’exception à Strasbourg : l’architecte libanaise, Lina Ghotmeh. Celle-ci a répondu à notre invitation au pied levé et nous l’en remercions vivement. Nous espérons vivement pouvoir accueillir l’architecte mexicaine Tatiana Bilbao l’année prochaine.
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Dans un monde en vives mutations, marqué par de nombreux désastres, structuré par la vitesse technologique, les médias sociaux et l’excès de superflu, l’architecture apparaît plus que jamais comme un puissant outil de réflexion et de critique. Explorant les environnements post-apocalyptiques, Lina Ghotmeh sollicite une « architecture lente », en appelant à une réflexion sur la forme et les ambitions, le dessin de nos espaces comme une « archéologie du futur ».
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Sa conférence nous mènera de Beyrouth pour y découvrir la résilience spatiale sur le site de la récente explosion dans la zone portuaire, en France où l’architecture bioclimatique tente de rétablir la relation synergique de l’homme à l’environnement.
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Lina Ghotmeh, Architecte fondatrice de l’atelier pluridisciplinaire Lina Ghotmeh — Architecture basé à Paris et regroupant 25 collaborateurs de toutes cultures.
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Lina Ghotmeh dessine son architecture telle une « Archéologie du Futur » sous un angle tant historique qu’écologique. Les questions du rapport à la mémoire, à la matière, à la nature et à l’humain sont primordiales dans la relation qu’elle entretient à l’architecture.
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Elle est notamment reconnue pour le Musée National Estonien, Grand Prix AFEX 2016, le restaurant « Les Grands Verres » situé au Palais de Tokyo, le projet Réalimenter Massena, tour innovante en bois lauréate de réinventer Paris et la tour Stone Garden, œuvre qu’elle vient de livrer à Beyrouth.
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Son atelier a été aussi lauréat de la réhabilitation urbaine du quartier Maine Montparnasse aux cotés de RSHP et conduit actuellement, la création du Centre Chorégraphique National de la Ville de Tours, et les ateliers Hermès, bâtiment Bpos en construction en Normandie.
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Lina Ghotmeh s’est vu décerner le prix AJAP 2007‐08 du Ministère de la Culture et de la Communication, le prix Jean Dejean 2016 de l’Académie d’Architecture et plus récemment le prix Pierre Cardin 2019 de l’Académie des Beaux‐Arts de Paris. Elle est actuellement nominée pour le Prix de la fondation Schelling.
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Dans le cadre des JA 2020, la performance « Empreinte 2020 », une immersion artistique à la fois picturale et sonore.
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Elle est le fruit d’une rencontre entre deux artistes : Carole NIEDER, plasticienne et architecte, et Sébastien MULLER sound designer et musicien compositeur.
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L’installation mouvante et éphémère qu’ils proposent questionne les rapports entre le corps, l’espace et le temps.