2 février 2019
La statue porte la signature « P.J. DAVID D’ANGERS » et la date 1839. La fonte est de SOYER et INGER. L’idée de ce monument revient à une société savante de Strasbourg en 1835, la statue en pied est fondue en 1839, le moment inauguré en juin 1840 pour le 400 ème anniversaire de l’invention de l’imprimerie.
Un grand MERCI à Louise,
notre charmante guide, qui par ses connaissances,
sa diction parfaite et didactique, nous a fait découvrir une partie de Strasbourg, de son histoire. Louise travaille au
"service animation du patrimoine de la ville de Strasbourg".
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Gutenberg a-t-il fait cette découverte lors de son passage à Strasbourg entre 1434 et 1444 ? L’aurait-il ensuite perfectionnée à Mayence ?
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Johann Gensfleisch (v. 1394/1399-1468), qui prit le nom de la maison paternelle, est originaire d’une famille patricienne de Mayence qu’il doit quitter en raison de problèmes politiques.
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Nous avons des traces de son passage à Strasbourg notamment grâce à un procès qu’il a intenté contre des bourgeois de la ville qui ont été ses pourvoyeurs de fonds.
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Deux contrats ont été conclus. Le premier concernait la fabrication de miroirs, car Gutenberg était expert dans le travail des métaux et le polissage des pierres.
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Le second pose beaucoup plus de problèmes. Dans les annales du procès et les dépositions des différents témoins, il est question d’achat de plomb, de vis et d’une presse. À la mort de l’un des signataires du contrat, Gutenberg ordonnera le démontage des pièces (Stücke). Or, nous sommes aux débuts de l’imprimerie et on craint d’ébruiter le secret d’une telle découverte - si découverte il y a.
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En outre, le vocabulaire propre à cette invention n’est pas encore très clair. Il question de das zu trucken gehöret. Drücken désigne-t-il l’imprimerie comme l’usage s’en répandra plus tard (Buchdrücker) ou une simple impression à partir d’une presse ? Les épreuves de l’époque font cruellement défaut.
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La Bible à quarante-deux lignes
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En plein centre-ville de Strasbourg, à deux pas de la cathédrale se trouve la place Gutenberg (ancienne place du Marché aux herbes), dominée par le monument qui commémore ce grand homme qui est installée devant la Chambre de commerce construite en 1585.
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La statue en pied, de très grande taille (3,31 m) est posée sur un haut socle de grès rouge sur lequel ont été ajoutés des bas-reliefs également en bronze.
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Bien que protégée pendant la seconde guerre mondiale, la statue est endommagée par des bombardements en 1943 et elle est restaurée en 1957.
La bible de Gutenberg se compose de deux volumes en écriture gothique au format in-folio (c'est-à-dire que chaque feuille n'a été pliée qu’une seule fois, ce qui permet d’imprimer des pages en grande dimension).
Chaque page comporte quarante-deux lignes (d'où le nom donné de la Bible à quarante-deux lignes).
Le premier volume concerne l’Ancien Testament et le second le Nouveau Testament. Ils sont écrits en latin.
Au total, cent quatre-vingt livres ont été imprimés sur une période de trois ans, temps nécessaire à un moine copiste pour en réaliser un seul.
Gutenberg avait tenté d’imprimer les titres en rouge mais la tâche s’avéra trop difficile car elle obligeait l’imprimeur à faire plusieurs passages.
Un emplacement fut donc réservé pour les lettrines et les enluminures.
Un enlumineur était chargé par le propriétaire de les réaliser.
La Bible latine a-t-elle été éditée à Mayence en 1455 grâce aux travaux effectués à Strasbourg ?
Johannes Mentelin (1410 - 12.12.1478)
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Toujours est-il que cette découverte va se développer rapidement.
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Entre 1460 et 1480, on recense une dizaine d’ateliers officiels à Strasbourg.
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Le premier imprimeur strasbourgeois est Jean Mentelin (1410-1478), né à Sélestat.
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On ignore de quelle manière il a maîtrisé la technique. Il aurait peut-être rencontré Gutenberg lors de son passage à Strasbourg.
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Sans soucis financiers, il établit son atelier rue de l’Épine et y édite une bible qui ressemble beaucoup à celle de Gutenberg.
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Remarquable commerçant, il contribuera à la réputation des imprimeries strasbourgeoises.
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La Bible de Mentelin, parue en 1460-1461 a été imprimée en latin et comporte pour sa part quarante-neuf lignes.
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La qualité de sa typographie lui valut rapidement une excellente réputation.
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Mais c’est en 1466 que Mentelin édita la première traduction pré-luthérienne en langue allemande de la Bible, la première imprimée en langue vernaculaire.
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Natif de Sélestat, reçu bourgeois de Strasbourg en avril 1447. D'abord enlumineur puis notaire de l'évêque de Strasbourg.
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Aurait établi une imprimerie à Strasbourg dès 1458 (mais il est mentionné pour la première fois en qualité de notaire et d'imprimeur simultanément en oct. 1461)
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première impression connue datable de 1460.
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travaille en association avec Heinrich Eggestein, official et garde des sceaux de l'évêque de Strasbourg.
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Anobli en oct. 1466 par l'empereur Frédéric III.
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Se démet de ses fonctions de notaire épiscopal avant déc. 1468. Beau-père des imprimeurs Adolf Rusch et Martin Schott.
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Les chroniqueurs alsaciens lui ont longtemps attribué, au détriment de Gutenberg, la paternité de l'invention de l'imprimerie à caractères mobiles
Johannes Gensfleisch, dit Gutenberg, est né entre 1394 et 1399 à Mayence. Il a séjourné à Strasbourg de 1434 à 1445, où plusieurs personnes, dont Jean Mentelin (1410-1478), cherchaient le moyen de reproduire les textes en série… C’est à Strasbourg qu’il réalisa la première impression à partir de caractères mobiles en 1440… l’imprimerie était née, avec juste une page. Il imprimera plus tard à Mayence, où il était rentré, une grammaire en 1451 puis le premier gros livre, la Bible, en 1452-1454. A sa mort (à Mayence) en 1468, il lègue son invention à l’humanité… Pas de brevet donc, une découverte mise à disposition de tous! Ah l’heureux monde où le bien collectif primait sur l’intérêt individuel…
Gutenberg tient donc une feuille imprimée à la main, et une presse (qui est plutôt due aux travaux de Jean Mentelin, est posée au sol à sa gauche (à droite quand on regarde la statue de face).
Les quatre bas-reliefs en bronze du socle ont été ajoutés en 1844, ils n’étaient pas terminés lors de l’inauguration, ce sont des modèles en plâtre peint qui avaient été mis en 1840. Ils représentent les bienfaits de l’imprimerie en Amérique, en Afrique, en Asie et en Europe. Sur chaque relief, on reconnaît une presse d’imprimerie et des personnages qui sont identifiés par des inscriptions. Pour l’Europe, que l’on voit ici, le projet était de figurer Luther et Bossuet à côté de Gutenberg. Ils étaient sur le plâtre peint en 1840. Devant la polémique qui éclata dans les milieux catholiques et protestants, ils ont finalement été remplacés sur le bronze par Erasme et Montesquieu (il existe une version intermédiaire de 1842, toujours avec Luther et Bossuet, conservée au musée de Strasbourg).
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L’Asie semble plus apaisée…
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Au centre, à gauche de la presse, William Jones et Anquetil Duperron offrent des livres imprimés à des Brahmanes qui sont debout de l’autre côté de la presse.
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A gauche de cette scène, le sultan Mahmoud II lit le journal, a abandonné son turban et revêtu des vêtements européens.
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Tout à gauche de la plaque, un Chinois lit un livre de Confusius.
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A droite, un Européen enseigne à un groupe d’enfants et des femmes semblent écouter un homme identifié comme le philosophe indien Rammonhun-Roy…
L’Afrique…
A gauche de la presse, William Wilberforce, abolitionniste anglais, étreint et semble protéger un Africain représenté nu et tenant un livre contre sa poitrine…
Ce panneau est très militant sur l’abolition de l’esclavage.
Deux détails de l’Afrique, en haut, on voit mieux le détail de la scène. Sur la droite de la plaque (détail en bas), Thomas Clarkson libère un groupe d’esclaves de leurs liens et de leurs fers.
A l’arrière-plan, un groupe de femmes récupère leurs enfants enfin libérés.
D’autres figures abolitionnistes, comme l’abbé Grégoire, sont représentés dans ce bas-relief.
L'Amérique.
Sur la droite, une partie militante, des esclaves qui supplient pour leur libération tout en se rapprochant de Bolivar…
Au-dessus de la presse, Benjamin Franklin brandit l’acte d’indépendance des États-Unis, avec à ses côtés Georges Washington, Thomas Lefferson, Gilbert de La Fayette et d’autres signataires de cet acte.
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Le 15 avril 2019 a eu lieu le vernissage de l'exposition des oeuvres de Gabriel MARIAN. L'exposition a été organisée par la représentation permanente auprès du Conseil de l'Europe de la Roumanie et la ville de Strasbourg, au siège de l'APE (Association Parlementaire Européenne) (Villa Schutzenberger - 76, allée de la Robertsau).
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Dans ses magnifiques tableaux, Marian interroge et réinvente le rapport entre l’image et le texte en partant d’une tradition postimpressioniste, c’est-à-dire en substituant les points par des lettres.
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Le corps consulaire de Strasbourg a organisé le 18 mai 2019 une journée des consulats, place du Château.
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20 représentations diplomatiques installées à Strasbourg ont tenus des stands et proposeront des animations.
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Chaque pays avait une tente dédiée avec des présentations touristiques, de l’artisanat. Il y avait aussi une scène, avec 17 spectacles tout au long de la journée
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Le Quai des Bateliers, version relooké, a été inauguré le 18 mai 2019.
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Complètement transformé, les voitures y circulent désormais en sens unique et à 20 km/h, de sorte à privilégier et faciliter les déplacements des promeneurs et touristes.
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Des pontons permettent de descendre au bord de l'eau et de s'y prélasser au soleil.
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Ils sont âgés de 21 à 26 ans, se sont rencontrés au lycée et à la fac il y a 3 ans et ont fusionné leurs compétences pour créer le groupe enjoué qui a conquis le public Strasbourgeois.
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Réunis par la passion de la musique Funk, ces 6 jeunes artistes strasbourgeois, qu’ils soient guitaristes, trompettistes, saxophonistes, percussionnistes, batteurs ou chanteurs, font revivre les années 70, avec leur petite touche personnelle
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Dans le groupe, chacun compose sa musique. Nathan, le chanteur, écrit les chansons avant que le groupe se réunisse pour apporter sa pierre à l’édifice, la mélodie qui lui plaît. Une fois sur scène, vêtus de leurs tenues discos, ils nous transmettent une énergie électrique qui dicte nos mouvements
Information importante :
Vidéos de la soirée, trouvées sur YouTube.
Elles n'ont pas été tournées par moi-même.
L'extension "Nord" de la ligne E du réseau de tramway va permettre la desserte du secteur de la Robertsau au cœur du quartier avec comme objectifs :
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de relier plus facilement le quartier de la Robertsau au reste de l'agglomération grâce aux déférents modes de transports en commun ;
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de proposer aux habitants du quartier de la Robertsau une alternative à la voiture particulière ;
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d'améliorer la desserte du cœur de quartier et notamment des principaux équipements (hôpitaux, écoles, lieux de cultes…) ;
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d'améliorer les facteurs environnementaux en agissant sur la qualité de vie, de l'air ;
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de densifier le maillage du réseau cyclable sur l'ensemble du secteur et renforcer les liaisons inter-quartiers ou intercommunales.
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2004 : prise en compte en février de la recommandation de la commission d'enquête pour les extensions 2006/2008, mise à l'étude un prolongement de la ligne "E" du tramway vers le centre du quartier de la Robertsau ;
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2007 : mise en service en août de la ligne E de la station "Baggersee" à la station "Wacken", prolongement en novembre jusqu'au terminus actuel "Robertsau Boecklin" ;
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2013 : concertation publique sur le projet d'extension du tram E au Nord de la Robertsau. Approbation du bilan de la concertation et choix du prolongement jusqu'à l'Escale par le Conseil de la Communauté Urbaine de Strasbourg ;
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2015 : Approbation en décembre par le Conseil de l'Eurométropole de Strasbourg de l'Avant-Projet de l'opération et engagement de la procédure d'enquête publique ;
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2016 : Enquête publique du 13 juin au 13 juillet, Déclaration d’Utilité Publique arrêtée par le préfet du Bas-Rhin le 13 décembre 2016 ;
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2017 : Les travaux préparatoires d'extension de la ligne de tram E ont commencé en août pour une durée totale du chantier de deux ans avec une mise en service prévue au deuxième semestre de 2019 ;
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2018 : en janvier, les premières soudures des rails.
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17 juin 2019 : mise en service de cette nouvelle extension
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22 juin 2019 : inauguration officielle
CHIFFRES CLEFS :
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L'infrastructure de la ligne de tram E sera prolongée de 1,4 km, sur 3 stations à savoir, les stations "Jardiniers", "Mélanie" et "Robertsau/Escale".
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Les services commerciaux de la ligne E seront prolongés de 1,6 km jusqu'à la station " Robertsau/Escale" au niveau du centre socio culturel de l'Escale.
LES PRINCIPAUX POINTS FORTS DU PROJET :
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Une fréquence conservée à 7 minutes ;
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1,3 km de piste cyclable bidirectionnelle et voie piétonne nouvelles. Elles sont séparées, suivant la recommandation de la commission d’enquête ;
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280 arbres plantés ;
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1.4 km de plateforme engazonnée ;
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19,4 M euros HT d'investissement portés par l'Eurométropole, subventionnés à 40 % par l'Etat et la Région Grand Est, dont 16,3 M euros de travaux ;
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15 minutes entre " Robertsau/Escale" et "République" ;
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3 parkings créés ou réaménagés à proximité des stations dans le quartier. Au total une centaine de nouvelles places de stationnement seront nouvellement aménagées.
« LE TRAM JARDIN »
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Les 1 400 m de nouveau réseau ne sont pas construits en longeant une voie routière préexistante comme cela est majoritairement le cas depuis 1994, mais sur une percée dans les fonds de jardins, prévue à cet effet depuis 1992 et plus avant encore.
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Une piste cyclable bidirectionnelle et une voie piétonne l’accompagnent le long de son tracé offrant ainsi des possibilités nouvelles de transit et de promenade du Nord au Sud de la Robertsau, réservées aux modes doux.
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La plateforme tramway et ses abords seront quasiment complètement végétalisés.
Sur les portes vitrées, des hérons, un pic-vert, des moineaux, une Ouette d’Egypte. Ce sont des espèces que l’on trouve localement, explique Missy. MISSY est l'artiste alsacienne qui a décoré cette rame de tramway.
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Alain BASHUNG a passé toute son enfance en Alsace, dans le village de Wingersheim.
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Dix ans après sa disparition, l’Institut national de l’audiovisuel (INA) et la Ville de Strasbourg ont souhaité rendre hommage à cet artiste local et le faire revivre à travers de nombreuses archives régionales et nationales.
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Samedi 22 juin et dimanche 23 juin 2019, la rue du Jeu-des-Enfants, ses commerces et ses cours intérieures ont accueilli une exposition interactive à ciel ouvert.
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Celle-ci prendra la forme d’installations photos, sonores et audiovisuelles qui retraceront les moments forts de la carrière d’Alain Bashung. La Ville a même décidé de rebaptiser la rue temporairement.
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Magnétoscopes, cassettes VHS, anciens téléviseurs… Grâce à du matériel vintage disposé dans toute la rue, le public pourra découvrir la personnalité du chanteur, son humour cinglant et son côté romantique.
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L’agence événementielle Passe Muraille et les architectes et graphistes d’AV Exciters, qui ont remporté l’appel d’offres pour le spectacle Lux 2019, inviteront tout l’été les Strasbourgeois à descendre dans un jardin où l’on célèbre — selon le cahier des charges imposé par la Ville — « la slow life ».
Un spectacle diurne et nocturne
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« Cette édition 2019 du grand spectacle d’été se déroulera en deux lieux : le quai des Bateliers et la place du Château. Sur deux temps, diurne et nocturne, et avec deux ambiances : l’une contemplative, l’autre plus spectaculaire », a résumé Mathieu Cahn, adjoint en charge de la politique événementielle, lors de la présentation ce mardi.
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Pour la partie diurne, les lauréats de l’appel d’offres vont installer sur le quai des Bateliers des microarchitectures végétalisées, à savoir deux « kiosques de rencontre » donnant de l’ombre et deux hamacs (en filet de catamaran) de 13 mètres de long, agrémentés d’herbes aromatiques. Ce même type de hamac se retrouvera au pied des deux tours de projection du mapping, place du Château. En journée, des transats en libre-service compléteront cette invitation à la contemplation. En soirée, des lumières colorées viendront scénariser le mobilier urbain éphémère, alors que les chaises longues seront rangées.
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Pour la partie nocturne, il y aura deux mappings. Le premier s’invitera en mode doux sur les berges de l’Ill. Il sera ainsi visible depuis le quai des Bateliers rénové en promenade. Les façades du musée historique, la place du Marché-aux-Poissons et, dans la continuité, le mur extérieur du palais Rohan feront les supports prestigieux d’une « frise panoramique digitale » de 180 mètres.
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Du côté du thème, on sera dans une approche poétique et magique de la nature en trois grands tableaux de cinq minutes, dont un hommage au Jean de la Lune de Tomi Ungerer.
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Le projet étant « immersif » du côté du quai, la composition musicale qui accompagne les tableaux, promet le designer sonore Ena Eno, sera dans des volumes et des recherches respectant les riverains. Comprendre, dans des nuisances moindres qu’un son et lumière classique.
« Une découverte à travers le prisme de la nature »
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Le deuxième mapping vidéo sera un spectacle sur la façade sud de la cathédrale, pensé comme « une découverte de l’édifice à travers le prisme de la nature ». « Une lecture organique et végétale mettant à l’honneur le travail des bâtisseurs et sculpteurs, jardiniers de la matière minérale. »
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La rose, les motifs de végétation, la gamme chromatique des vitraux de l’édifice, et Jean de la Lune encore, sont conviés à cette fête pour les yeux. L’ensemble du dispositif démarrera le samedi 6 juillet et durera jusqu’au 1er septembre. Les spectacles son et lumière se font de nuit, à partir de 22 h 30 en juillet et 22 h 15 en août. Trois à quatre représentations d’une dizaine de minutes sont programmées chaque soir place du Château.
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Concert multilingue
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En France, il y a encore quelques années, lorsqu’un médecin vous auscultait le thorax, il vous ordonnait « Dites 33 ! ».
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C’est la 33 ème tournée d’été, elle sera donc consacrée à la médecine avec « I don’t need no doctor » de Ray Charles, « Joue docteur joue » de Patrick Bruel, « Je suis malade » de Serge Lama, « Fever » de Joe Cocker, « Je n'suis pas bien portant » de Gaston Ouvrard...
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On évoquera également tout ce qui peut amener à consulter un docteur « Cocaïne » d’Éric Clapton, « One scotch, one bourbon, one beer » d’Amos Milburn, « Fume cette cigarette » d’Eddy Mitchell…
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Ce spectacle est multilingue avec des chansons en français, en allemand, en anglais, en alsacien.. Il y aura également de la danse acrobatique et du hip hop.
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Comme chaque année, à la fin du concert, nous quêterons à l'ancienne : œufs, farine, confiture et autres Schnaps car "pour bien aimer un pays, il faut le manger, le boire et le chanter".
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L'ascension vers la plateforme de la cathédrale est ré-ouverte depuis le 29 juillet 2019.
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Elle offre de nouvelles expériences ludiques et visuelles.
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Par ailleurs, les recettes de ce nouveau circuit contribuent au financement des travaux de conservation-restauration de la cathédrale de Strasbourg.
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C'est la raison pour laquelle, la gratuité du 1er dimanche du mois (comme les musées en France) est SUPPRIMÉE et le tarif pour les adultes est passé de 5 € à 8 €.
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Les nouveautés :
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Faites un voyage dans le temps à 360° avec Vue Réelle Strasbourg Cathédrale
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Depuis la plateforme de la cathédrale de Strasbourg, à 66 mètres du sol, découvrez un panorama saisissant de la ville en 1490 vers l’ouest, et en 1730 vers l’est.
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Grâce à des reconstitutions 3D d’une grande rigueur scientifique, comparez la ville d'aujourd’hui avec la cité médiévale du XVe et du XVIIIe siècle.
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Suivez son évolution, la façon dont elle s’est développée, protégée et passez instinctivement d’un panorama 360 à un autre.
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Une vue simplifiée met aussi en valeur les édifices significatifs, les fortifications, l’ancien tracé des rues, etc. pour mieux comprendre et confronter la cité actuelle avec son histoire.
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Le panorama ouest présente la ville en 1490, cerclée par ses murailles hérissées de 25 tours, des édifices aujourd’hui disparus et le chantier de la deuxième flèche de la cathédrale qui se tenait à la place de l’actuelle maison des gardiens.
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La restitution de la cité en 1730, à l’est, vous permet d’explorer l’ancienne tour de croisée gothique de la cathédrale détruite en 1759, les fortifications urbaines de Vauban ainsi que l’ancienne maison des gardiens démolie en 1782.
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Les restitutions en 3D de la cathédrale et de la ville sont le fruit d’un travail en recherches historiques et en modélisation 3D, aussi riches d’enseignements pour les touristes que pour les amateurs éclairés. Pour parvenir à créer ces images, tous les écrits disponibles sur le développement urbain de la ville ont été analysé en détails tout comme les connaissances sur l’évolution du territoire, des systèmes de fortification, du réseau hydrographique, et des rapports entre politique, économie, sociologie, culte et développement de l’architecture et de l’urbanisme à Strasbourg et en Alsace.
Livre d'or virtuel :
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Depuis début du XIXe siècle, il est interdit de graver les noms des visiteurs dans la pierre, des registres papier sont alors ouverts sur la plateforme. Ces livres d’or consignent de multiples signatures et de nombreux messages, entre 1818 et 1870, 720 000 visiteurs ont ainsi laissé la trace de leur passage.
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Aujourd'hui, à l'image des illustres visiteurs de la cathédrale comme Érasme de Rotterdam, Johann Wolfgang Goethe et Victor Hugo gravez virtuellement votre nom ou votre dessin dans la pierre et partagez-le par email.
Vue panoramique
depuis la plateforme :
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La plateforme, à 66 m d'altitude, est accessible uniquement à pieds par l'ascension des 330 marches. Elle offre une vue imprenable sur les toits de Strasbourg et grâce à des œilletons vous pourrez apercevoir notamment la Petite France, l'église Saint-Thomas, l'Ancienne Douane, l'église orthodoxe russe ou encore les institutions européennes.
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Plusieurs grandes villes internationales sont repérées sur une nouvelle rose des vents : Rio de Janeiro au sud sud est, est à 9 419 km de Strasbourg ou au nord, Amsterdam à 465 km.
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Vous pourrez aussi apprécier des éléments d'architecture tels que l'octogone de la haute tour surmonté de sa flèche qui culmine à 142 m, la tour de la croisée du transept érigée au XIXe siècle par l'architecte de la Fondation de l'Œuvre Notre-Dame Gustave Klotz, les toitures en cuivre de la haute nef et des bas-côtés et de nombreuses sculptures
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Dans la maison des gardiens, vous pourrez admirer deux roues d'écureuil (treuils) datant du XVe siècle et le mécanisme d'une horloge fabriquée par Jean-Baptiste Schwilgué.
Horaires, accès et tarifs :
L’ascension vers la plateforme est ouverte tous les jours de l'année sauf les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre.
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Horaires d'été :
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du 1er avril au 30 septembre
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tous les jours de 9 h 30 à 20 h 00 (dernière montée à 19 h 15).
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Horaires d'hiver :
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du 1er octobre au 31 mars
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tous les jours de 10 h 00 à 18 h 00 (dernière montée à 17 h 15).
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L'accès se fait au sud par la place du Château.
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L'entrée de la loge-caisse est située sur le côté sud du massif occidental.
Les tarifs :
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8,00 Euros, tarif normal
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5,00 Euros, tarif réduit
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enfants et jeunes de 6 à 18 ans, agents de l'Eurométropole de Strasbourg sur présentation du badge, accompagnateurs de personne(s) en situation de handicap,
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étudiants sur présentation de la carte d'étudiant,
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détenteurs de la carte culture ou Atout voir.
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2,00 Euros par personnes pour les groupes scolaires + accompagnateurs dans la limite de 30 élèves
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5,00 Euros par personnes pour les groupes de 20 personnes et plus
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Montée gratuite (sur présentation d’une pièce justificative) pour les :
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enfants de 0 à 5 ans
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membres du Ministère de la Culture
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membres de la Société des Amis de la Cathédrale de Strasbourg
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journalistes
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titulaires des minima sociaux type RSA
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titulaires des cartes ICOM ou ICOMOS
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guides-interprètes
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personnes en situation de handicap
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pour tous lors des Journées Européennes du Patrimoine.
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Aucune réservation et achat de billets en avance ne sont possibles.
Boucle auditive et haut relief :
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La loge-caisse est désormais équipée d'une boucle auditive et dès septembre 2019, elle accueillera une cathédrale en haut-relief en grès, conçue et réalisée par les artisans de la Fondation.
Scénographie :
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Une nouvelle scénographie didactique et ludique vous est proposée, en films et animations 3D ou sur panneaux, découvrez le système de levage des roues à écureuil, l'histoire de la seconde flèche de la cathédrale ou encore l'histoire de la maison des gardiens.
Vue panoramique depuis la plateforme :
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La plateforme, à 66 m d'altitude, est accessible uniquement à pieds par l'ascension des 330 marches. Elle offre une vue imprenable sur les toits de Strasbourg et grâce à des œilletons vous pourrez apercevoir notamment la Petite France, l'église Saint-Thomas, l'Ancienne Douane, l'église orthodoxe russe ou encore les institutions européennes.
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Quelques grandes villes internationales sont repérées sur une nouvelle rose des vents : Rio de Janeiro au sud sud est, est à 9 419 km de Strasbourg ou encore au nord, Amsterdam à 465 km.
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Vous pourrez aussi apprécier des éléments d'architecture tels que l'octogone de la haute tour surmonté de sa flèche qui culmine à 142 m, la tour de la croisée du transept érigée au XIXe siècle par l'architecte de la Fondation de l'Œuvre Notre-Dame Gustave Klotz, les toitures en cuivre de la haute nef et des bas-côtés et de nombreuses sculptures.
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Dans la maison des gardiens, vous pourrez admirer deux roues d'écureuil (treuils) datant du XVe siècle et le mécanisme d'une horloge fabriquée par Jean-Baptiste Schwilgué.
Par ailleurs, l’ensemble de la cathédrale peut toujours être visité
à 360°
en cliquant ci-dessous
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A chaque équinoxe, un phénomène unique attire à la Cathédrale de Strasbourg des dizaines de curieux. Il a pour nom : « le rayon vert ».
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Celui-ci apparaît deux fois par an,
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en mars et en septembre,
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sur le dais de pierre qui surplombe le Christ de la chaire.
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le phénomène se produit depuis 140 ans à 11 h 34 exactement (12 h 34 en heure d'été).
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Ce rayon est un phénomène astronomique découvert en 1972 par un géomètre : Maurice Rosart (Ingénieur de Vendenheim et amoureux de la bâtisse)
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Le phénomène visible est le suivant :
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le soleil traverse le pied (vert) du vitrail du triforium méridional représentant Juda et se transforme en rayon vert avant de traverser la nef et de frapper la tête du Christ sur la chaire
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Le rayon vert est le signe des changements de saison et rappelle la fonction d’horloge de la cathédrale. Il n’est visible que depuis la création de ces vitraux, à la fin du 19è siècle et depuis leur restauration récente.
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Ce dernier a longtemps alimenté les polémiques, entre d'un côté les partisans de phénomènes insolites, qui avançaient des explications ésotériques, et de l'autre les autorités ecclésiastiques, qui y voyaient une signification théologique.
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Les travaux de réhabilitation de plusieurs anciens bâtiments de la Coop Alsace s’accélèrent. Artistes, associations, collectifs et artisans s’y installeront dès cet été.
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Des illustrateurs, des céramistes, des professionnels du numérique, de l’impression 3D, des vidéastes, des menuisiers, des scénographes, des éditeurs… La Coop accueillera ses premiers locataires cet été sur l’espace dit de la Virgule, situé entre les rues du Port du Rhin, de la Coop et la ligne de tramway D, au sein de cinq bâtiments en cours de réhabilitation.
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L’ancienne menuiserie, où s’implanteront les collectifs AV.Lab et les Ateliers éclairés, abritera des ateliers ainsi que des "makerspaces" dédiés à l’impression 3D, la broderie numérique, la découpe laser, le travail du bois et la peinture.
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Le garage accueillera bureaux et ateliers des artistes, artisans et associations réunis au sein des collectifs La Semencerie et Rotonde, ainsi qu’un grand espace d’exposition. L’atelier bois hébergera sept ateliers d’artistes, en complément du Bastion 14, derrière la gare. Quant à l’ancien préau, il est en cours de reconversion pour devenir un atelier de céramique et de travail du métal.
"Conserver l’esprit des lieux"
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Le nouveau préau, seul bâtiment construit sur la Virgule, permettra "d’assembler nos différentes productions, parfois volumineuses, précise Jérémie Bellot, architecte et représentant d’AV.Lab. Nous y installerons aussi un espace de projection à 360° pour visualiser des projets artistiques ou architecturaux."
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Au milieu de ces bâtiments, une esplanade de 2700m², pour organiser des événements ouverts au public.
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Aux manettes de cette grande opération, qui s’intègre à la réhabilitation de l’ensemble du site de la Coop (2018-2022), la Ville et Alexandre Chemetoff souhaitaient "conserver l’esprit des lieux en les rendant plus confortables", explique l’architecte. "La structure et le toit des anciennes constructions, parfois les sols ou le mobilier, ont été rénovés. Du bois brûlé habille la façade de l’atelier bois et l’isolation extérieure de la menuiserie a permis de conserver les poutres apparentes.
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Victoire d’honneur du jazz en 2018 pour l’ensemble de sa carrière, Rhoda Scott, the barefoot Lady (la femme aux pieds nus), a donné plus de 120 concerts durant ces trois dernières années avec son Lady Quartett.
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À l’orgue Hammond, aux saxophones et à la batterie, Rhoda et ses trois amies sont les plus pétillantes et swinguantes ladies de la planète jazz.
Jeudi 7 novembre à l’église Saint-Paul
Forum de la Démocratie :
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Ce concert de clôture s'inscrit dans le Forum Mondial de la Démocratie, et dans le cadre de la Présidence française du Comité des ministres du Conseil de l’Europe.
Anja Linder, harpiste strasbourgeoise de renommée internationale ouvrira la soirée. Elle sera suivie par les Voix de Stras' - Catherine Bolzinger, six artistes lyriques cosmopolites, qui vous proposeront une prestation interactive croisant sensibilité et humour autour des réseaux sociaux.
Les réseaux sociaux vous laissent-ils indifférents ? ou au contraire êtes vous fan ? quelle place occupent ils dans votre rapport aux autres ? Après avoir collecté les avis du grand public sur la question, les Voix de Stras' ouvriront avec vous le débat, en musique bien sûr et avec votre participation ....
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En 2001, un important écueil personnel l’oblige à mettre entre parenthèses sa pratique musicale.
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Anja Linder a survécu au drame du parc de Pourtales à Strasbourg.
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Cet évènement inspirera aux ingénieurs Jean-Marie Panterne et Marc Amoureux une harpe élèctro-pneumatique pilotée par un ordinateur, l’anjamatic.
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Ce nouvel instrument dont l’usage simplifié des pédales ouvre d’incroyables possibilités musicales est par ailleurs enseigné par Anja depuis 2013 au conservatoire de Strasbourg.
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La prestigieuse fondation Banque Populaire en a fait l’une de ses lauréates et son coup de coeur 2010.
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L'ensemble vocal Voix de Stras' a été créé et est dirigé par Catherine Bolzinger depuis 1997. Il regroupe entre 8 et 20 chanteurs selon la forme choisie par l'ensemble.
L'ensemble Voix de Stras' se produit régulièrement en concert en Alsace, notamment au Conservatoire de Strasbourg ou aux Dominicains de Haute-Alsace de Guebwiller.
Le répertoire du groupe se compose de morceaux classiques et contemporains allant des œuvres de Debussy à celles de Reibel ou Jolas, en passant par Britten, Sibelius ou Ravel.
Concert du 8 novembre 2019 à Saint Pierre le Vieux protestant
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Pavé après pavé, la rue du 22 Novembre se refait une beauté.
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Piétonisation, végétalisation, oeuvre d’Ewerdt Hilgemann et petit renouveau dans les commerces…
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Les travaux se sont achévés juste à temps pour le marché de Noël. L'inauguration a été faite le 20 novembre.
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La rue historique, symbole de la Grande Percée à Strasbourg au début du XXème siècle, est en passe de devenir un nouveau symbole, celui d’une vision d’une nouvelle ville :
plus verte et plus piétonne.
